Le Pirate a vu
"LA CALLAS"
"Que son âme repose en paix!"
http://callas.free.fr/callas1.htm
toujours a l'affiche au Théâtre Déjazet
"LA CALLAS"
"Que son âme repose en paix!"
http://callas.free.fr/callas1.htm
toujours a l'affiche au Théâtre Déjazet
"LA CALLAS" une femme de caractère dont la "voix" est et sera à jamais un "joyau unique"...
Jean Yves Rogale nous présente une Callas dans son intimité... Nous découvrons la "vulgarité" de certains de son entourage et elle ne cessant de répéter l'amour qu'elle pourrait donner à un enfant...
Tout au long de cette vie on se pose une question pourquoi nous dévoiler ceci...Quelle importance de savoir qu'elle n'aidait pas financièrement sa mère...Qu'elle a été prise dans l'engrenage de la facilité du tape à l'oeil alors qu'elle n'avait nullement besoin de tout cela, Elle, Diva dans le monde...
Un entourage nauséabond, une mère possessive et calculatrice... LA CALLAS a t-elle eu une véritable enfance...Une véritable vie.
Les voix divines venants lui susurrer des mots, l'ayant accompagnée et protégée tout au long de sa vie...
Des vies amoureuses tumultueuses, orageuses, tel son caractère de femme capricieuse...
Une femme incomprise, ne demandant qu'à être aimée. Un premier mariage sous l'emprise du gain d'argent puis son coup de foudre avec cet amour bruyant, loin de son quotidien, un industriel Grec inculte. La richesse est pauvre face au manque de culture. L'argent lui offrant pouvoir et séduction, un gougat, arriviste un assoifé de possession ne s'arrêtant devant rien achetant tout sur son passage...Son infidélité vulnérable, grossière a détruit la CALLAS.
Elle n'était vraiment vivante que sur scène. Seule la musique a su la comprendre et montrer au monde la bonté, la puissance, la folie de sa perfection artistique. Ici, elle était adulée et félicitée à Sa Grandeur de Cantatrice , Diva, belle, élégante, FEMME .
Entre chaque tableau la voix de la CALLAS habite le Théâtre Déjazet celui ci vibre à chaque notes, il en devient vivant. Elle est là, présente, près de nous, on se surprend à essayer d'humer son parfum...Sa "voix" représentée par la grâce d'une silhouette vêtue d'un voile de beauté blanc...Magnifique...
L'art est le seul monde où l'imaginaire est vivant...
Un décor simple, des textes surprenants... Nous sommes surpris mais vite nous pénétrons dans cette intimité et parfois nous avons honte d'être voyeurs.
Andrea Ferréol, Pierre Santini, Sophie Carrier, Lola Dewaere, Raymond Acquaviva, Cecile Pallas dans chacun de leur rôle nous surprennent et nous laissent sans "voix"...
Un grand bravo à Lady B Forrest qui a su signer la silhouette, l'élégance de la DIVA.
Même après ces révélations LA CALLAS reste et restera LA CALLAS...
Que son âme repose en paix. Sa voix est immortelle.
Fermons les yeux...LA CALLAS est là!
http://www.musicme.com/#/Maria-Callas/videos/?res=vidweb&v=3
LE PIRATE
Lily Taïeb
24 février 2013
Jean Yves Rogale nous présente une Callas dans son intimité... Nous découvrons la "vulgarité" de certains de son entourage et elle ne cessant de répéter l'amour qu'elle pourrait donner à un enfant...
Tout au long de cette vie on se pose une question pourquoi nous dévoiler ceci...Quelle importance de savoir qu'elle n'aidait pas financièrement sa mère...Qu'elle a été prise dans l'engrenage de la facilité du tape à l'oeil alors qu'elle n'avait nullement besoin de tout cela, Elle, Diva dans le monde...
Un entourage nauséabond, une mère possessive et calculatrice... LA CALLAS a t-elle eu une véritable enfance...Une véritable vie.
Les voix divines venants lui susurrer des mots, l'ayant accompagnée et protégée tout au long de sa vie...
Des vies amoureuses tumultueuses, orageuses, tel son caractère de femme capricieuse...
Une femme incomprise, ne demandant qu'à être aimée. Un premier mariage sous l'emprise du gain d'argent puis son coup de foudre avec cet amour bruyant, loin de son quotidien, un industriel Grec inculte. La richesse est pauvre face au manque de culture. L'argent lui offrant pouvoir et séduction, un gougat, arriviste un assoifé de possession ne s'arrêtant devant rien achetant tout sur son passage...Son infidélité vulnérable, grossière a détruit la CALLAS.
Elle n'était vraiment vivante que sur scène. Seule la musique a su la comprendre et montrer au monde la bonté, la puissance, la folie de sa perfection artistique. Ici, elle était adulée et félicitée à Sa Grandeur de Cantatrice , Diva, belle, élégante, FEMME .
Entre chaque tableau la voix de la CALLAS habite le Théâtre Déjazet celui ci vibre à chaque notes, il en devient vivant. Elle est là, présente, près de nous, on se surprend à essayer d'humer son parfum...Sa "voix" représentée par la grâce d'une silhouette vêtue d'un voile de beauté blanc...Magnifique...
L'art est le seul monde où l'imaginaire est vivant...
Un décor simple, des textes surprenants... Nous sommes surpris mais vite nous pénétrons dans cette intimité et parfois nous avons honte d'être voyeurs.
Andrea Ferréol, Pierre Santini, Sophie Carrier, Lola Dewaere, Raymond Acquaviva, Cecile Pallas dans chacun de leur rôle nous surprennent et nous laissent sans "voix"...
Un grand bravo à Lady B Forrest qui a su signer la silhouette, l'élégance de la DIVA.
Même après ces révélations LA CALLAS reste et restera LA CALLAS...
Que son âme repose en paix. Sa voix est immortelle.
Fermons les yeux...LA CALLAS est là!
http://www.musicme.com/#/Maria-Callas/videos/?res=vidweb&v=3
LE PIRATE
Lily Taïeb
24 février 2013
